Scénario: Azzarello Brian – Dessin: Bermejo Lee
Dans le New York des années soixante-dix, les barons du crime organisé règnent en maître. Rorschach, pour qui le bien et le mal n’ont aucun intermédiaire, lutte sans relâche contre la prolifération des activités illicites dans les rues de sa ville. Ce faisant, il est rapidement pris pour cible par un criminel dont la drogue et la prostitution sont le gagne-pain. Concentré sur ce dernier, Rorschach fait l’erreur d’en laisser un autre sévir impunément…
#1
Rorschach, le justicier le plus expéditif dans Watchmen déboule dans Before Watchmen sous la houlette de deux très grand du comic-book à savoir Azzarello et Bermejo.
On sent un grand plaisir des deux artistes de prendre les manettes du personnage. New-York, 1977, un tueur en sévit mais rien de vraiment nouveau sur le passé du personnage du justicier masqué, mis à part le fait qu’il lui arrivait de prendre des branlées face aux délinquants de New-York.
4/5
#2
Après s’être pris une sacrée raclée par un gang, le justicier expéditif Rorschach reprend su mission punitive. Un second volet toujours aussi violent où l’on reconnaît la pâte Bermejo aux dessins.
4/5
#3
Alors que New York est plongée en plein blackout, Rorschach organise sa guerre des nerfs contre la pègre et son monstrueux caïd, par Brian AZZARELLO et Lee BERMEJO. Le héros prépare sa revanche sur un gang très violent. L'univers toujours aussi noir et violent du héros masqué avec chapeau et imper pour son avant dernier volet.
4/5
#4
Dernier volet des aventures de Rorschach face au dealer mutilé Crâne Cru et au mystérieux tueur en série, en pleine panne générale dans New York. Par le duo gagnant Azzarello/Bermejo.
4,5/5
Le Before Watchmen sur l'un des héros préférés des fans de l'oeuvre de Alan Moore. Le justicier expéditif et violent Rorschach et son idée bien spéciale de la Justice.
Le duo Azzarello/Bermejo nous offre livre noir et violent dans le New-York des seventies.
en bonus les covers et variant covers. Certains diront 15€ pour 4 volets, c'est raide. Oui mais le duo aux manettes vaut son pesant d'or. A noter le clin d’oeil à Taxi Driver. En bonus, les variant cover de différents excellents artistes.
